Au large des côtes d’Angus en Écosse, à une distance de 27 km, se dresse la première turbine du parc éolien offshore Seagreen, qui a commencé à générer de l’électricité dès août 2022. Une fois les 114 éoliennes en service, elles auront à fournir près de 1,6 million de foyers en électricité verte, à savoir les deux tiers des ménages écossais. La centrale jouera un rôle essentiel dans la réduction des émissions de dioxyde de carbone, en évitant le rejet de plus de 2 millions de tonnes par an.

Le parc éolien Seagreen est unique de par sa position géographique. Baignée par des vents marins puissants, cette région est largement reconnue comme l’une des plus propices au monde pour la croissance de l’énergie éolienne en mer. Ce projet diffère également par sa taille, devenant le plus grand parc éolien d’Écosse dès son entrée en service. De plus, il se positionne comme l’un des plus profonds du monde en utilisant des fondations fixes.

Crédit photo : Hans Hillewaert/Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International (CC BY-SA 4.0)

Basées sur le même mécanisme que les éoliennes terrestres, celles en mer bénéficient de vents plus constants et vigoureux, ce qui se traduit par une production d’électricité supérieure par mégawatt. En outre, ces turbines offshores bénéficient de technologie dernier cri, reflétant l’expertise de TotalEnergies dans ce domaine. Elles ont également gagné en hauteur, captant ainsi plus efficacement le vent. Les éoliennes Seagreen atteignent une hauteur maximale de 204 mètres à l’extrémité des pales et un diamètre de 164 mètres.

En lien avec son engagement envers la neutralité carbone d’ici 2050 et en harmonie avec la société, TotalEnergies a pour objectif de générer 100 GW d’énergie renouvelable à l’horizon 2030. Le projet Seagreen constitue une réponse concrète à cet objectif visionnaire.

Si vous envisagez de générer votre propre électricité verte pour réduire vos factures et gagner en autonomie énergétique, il existe des solutions pratiques et accessibles. L’installation de panneaux solaires pour l’autoconsommation pourrait bien répondre à vos besoins. Vous pouvez non seulement économiser de l’argent, mais également contribuer à un mode de vie plus durable. Par ailleurs, la mise en place d’un kit panneau solaire autoconsommation vous offre la liberté de générer votre courant et de l’utiliser selon vos besoins.

Ce pack peut être particulièrement utile si vous vivez dans un endroit isolé ou si vous souhaitez électrifier un véhicule aménagé, un engin nautique ou une tiny-house. Vous n’êtes plus uniquement tributaire du réseau public d’électricité, ce qui peut être avantageux pour des régions reculées en Asie, en Afrique, ou partout dans le monde où l’accès à l’électricité peut être limité.

Pour une maison, vous serez à même d’opter pour un système photovoltaïque équipé de plusieurs panneaux solaires à haut rendement. Une batterie de stockage vous offrira la possibilité d’emmagasiner le surplus de courant pour les moments où le soleil n’est pas au rendez-vous ou la nuit. Un kit panneau solaire autoconsommation d’une puissance de 3200W, pourvu de micro-onduleurs, constitue une solution judicieuse pour alimenter divers appareils domestiques, du chauffage à l’éclairage, en passant par les appareils multimédias.

Si vous êtes un voyageur ou un nomade, les kits panneaux solaires pour camping-car offrent une option pratique. Vous aurez l’opportunité de choisir entre des panneaux standards ou des modèles pliables et portables. Ces derniers sont en mesure d’être déployés lors de vos déplacements pour répondre à des besoins ponctuels en énergie.

La Norvège a récemment inauguré le plus grand parc d’éoliennes flottantes au monde, situé dans les eaux de la mer du Nord. Ce parc, connu sous le nom de Hywind Tampen, est équipé de 11 turbines de 8,6 MW chacune.

Une caractéristique clé de cette technologie émergente est qu’elle n’est pas implantée sur des fondations fixes, mais plutôt sur des structures flottantes maintenues par des systèmes d’ancrage. La particularité des éoliennes flottantes réside dans leur capacité à être déployées dans des eaux plus profondes et plus éloignées des côtes, où les vents sont plus constants. Cependant, il est important de noter que cette avancée présente un coût plus substantiel.

Pour info, le parc éolien Hywind Tampen est en service depuis la fin de l’année dernière et a été officiellement inauguré récemment en présence du prince héritier de Norvège, Haakon, et du Premier ministre, Jonas Gahr Støre. Cette avancée est cruciale pour répondre à la demande croissante en électricité en Europe, tout en respectant les objectifs climatiques. Jonas Gahr Støre a souligné que la nécessité d’une électricité d’origine renouvelable est devenue encore plus évidente avec les événements géopolitiques récents.

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Le coût initial de la construction du champ Hywind Tampen, s’élevant à environ 7,4 milliards de couronnes norvégiennes, soit 640 millions d’euros, peut sembler élevé, mais il est considéré comme un investissement nécessaire pour ouvrir la voie aux éoliennes flottantes. Plusieurs partenaires internationaux, dont Equinor, Petoro, OMV, Vår Energi, Wintershall DEA et Inpex, ont collaboré à la réalisation de ce projet

La Communauté de communes de la Picardie verte (CCPV) a entrepris un projet visant à implanter des panneaux solaires sur le parking qui se trouve devant la piscine Océane à Grandvilliers. Cette initiative vise à réduire considérablement les coûts énergétiques de la piscine municipale, en assurant près de 30 % de sa facture actuelle grâce à l’énergie solaire. Des études approfondies ont été réalisées pour déterminer la meilleure configuration possible des modules photovoltaïques. Le coût total pour ce projet s’élève à 405 000 euros, dont 80 % ont été subventionnés par la Dotation de soutien à l’investissement local. Les travaux, débutés le 16 août, sont prévus pour se terminer dans environ deux mois.

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Un projet ambitieux prend forme à Soignies, évoluant progressivement dans une direction prometteuse. La coopérative citoyenne CLEF, le fonds d’investissement Green for Power SA (G4P) et la ville de Soignies annoncent avec enthousiasme la mise en place du projet d’île photovoltaïque sur le plan d’eau de la carrière du Perlonjour. Dès à présent, les habitants peuvent devenir copropriétaires de cette initiative et ainsi apporter leur pierre à l’édifice de la transition énergétique locale, avec un capital initial à partir de 250 euros.

Cette installation vise l’aménagement de 12 500 panneaux solaires sur le plan d’eau d’une surface de 28 986 m² en 2024. Ce qui le positionnera parmi les plus grands parcs photovoltaïques flottants en Wallonie. Sa capacité maximale de 6 124 MWc lui permettra de générer environ 5 695 MWh d’électricité renouvelable par an, ce qui pourrait couvrir les besoins énergétiques de 1 630 foyers wallons.

Lancé par la municipalité de Soignies en 2020, ce projet a franchi avec succès toutes les étapes nécessaires à sa réalisation. Il a obtenu un permis unique, ainsi que les droits de superficie de la carrière, dont la propriété appartient à HOLCIM. La coopérative citoyenne CLEF et le fonds d’investissement G4P, détenus respectivement par SOCOFE et Perpetum, ont été désignés par le biais d’un marché public pour la construction et l’exploitation du parc.

Crédit photo : Jean-Pol GRANDMONT/Attribution 2.5 Générique (CC BY 2.5)

Fabienne Winckel, la maire de Soignies, met en avant avec conviction l’implication de la municipalité dans la bataille contre les effets du changement climatique et dans la réalisation de politiques énergétiques durables. Son objectif est de surpasser les attentes européennes en matière de réduction des émissions de CO2 tout en favorisant le développement des énergies vertes sur son territoire. Ce projet de parc solaire flottant s’aligne parfaitement sur cette démarche, tout en offrant aux citoyens la possibilité de contribuer activement à la transition énergétique locale.

Dans une démarche résolue vers une empreinte carbone réduite, Alibaba Cloud, la division de data intelligence et technologie numérique d’Alibaba Group, dévoile des résultats marquants. L’entreprise annonce une réduction notable de 12,9 % des émissions de carbone provenant de ses activités. Cette réalisation découle d’une gestion énergétique intelligente et d’une augmentation de l’adoption d’énergies renouvelables, et ce, dans le cadre de son ambition de neutralité carbone à horizon 2030. Au-delà de la baisse des émissions nettes liées à ses opérations internes, Alibaba a signalé une réduction de 22 907 millions de tonnes de dioxyde de carbone (MtCO2e) dans l’intégralité de son écosystème au cours de la période fiscale s’étendant du 1er avril 2022 au 31 mars 2023.

Alibaba, grâce à la capacité de sa plateforme, exerce un rôle moteur dans la promotion de la décarbonisation à travers son écosystème diversifié englobant le commerce, la logistique et le cloud computing. Un élément central de cette initiative repose sur la part croissante d’électricité propre, issue de sources telles que le solaire, l’hydraulique et l’éolien, alimentant ses centres de données auto-aménagés en Chine. Cette proportion a bondi de manière significative, passant de 21,6 % lors de l’exercice fiscal 2022 à 53,9 % durant l’exercice fiscal 2023.

Crédit photo : Alibaba Pictures/Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International (CC BY-SA 4.0)

Une attention particulière est portée au rendement énergétique de ses datacenters, où des avancées significatives ont été réalisées. L’efficacité globale de l’utilisation d’énergie dans ces installations a progressé, s’établissant à 1,215 durant la période, en comparaison à 1,247 l’année précédente. Cette amélioration découle en partie de l’usage accru de technologies écoénergétiques, telles que le système de refroidissement liquide pour les serveurs ainsi que l’amélioration des pratiques de gestion énergétique.

Vous souhaitez maximiser l’efficacité de vos panneaux photovoltaïques. Dans ce cas, munissez-vous d’un tracker solaire. Pour info, c’est un mécanisme sophistiqué conçu pour accompagner la course du soleil tout au long de la journée. Son but est d’optimiser la production solaire en ajustant constamment l’orientation des modules. Cette technologie a divers avantages.

Il améliore la performance des panneaux solaires en suivant la trajectoire du soleil, ce qui permet une concentration constante de la lumière sur les cellules photovoltaïques. Cette approche augmente le rendement d’environ 25 % par rapport aux systèmes fixes. En conséquence, une quantité supérieure d’électricité peut être générée avec un nombre moins élevé de panneaux, ce qui est particulièrement avantageux dans les espaces limités.

Sa capacité à optimiser l’extraction d’énergie solaire peut augmenter les rendements jusqu’à 30 %. Bien que l’investissement de départ puisse être plus élevé, les économies d’électricité à long terme compensent rapidement ces coûts initiaux.

En ce qui concerne la maintenance, leur entretien bénéficie de coûts réduits. De plus, il est peu fréquent. De plus, leur configuration flexible les rend adaptables à différents environnements.

Le tracker solaire se présente comme une solution durable, tant pour les installations résidentielles que pour les projets plus vastes. Leur efficacité continue de produire des résultats positifs sur le long terme, renforçant leur position en tant que choix judicieux pour accroître les rendements énergétiques.

Une caractéristique notable de ce suiveur solaire est qu’il est en mesure de limiter le nombre de plaques nécessaires pour générer une quantité spécifique d’énergie propre. Cette réduction entraîne une diminution des coûts d’installation, ce qui renforce leur attractivité économique.

Un groupe d’entreprises belges travaille ensemble pour tester l’implantation de panneaux solaires flottants en mer du Nord, avec l’objectif d’optimiser l’espace entre les éoliennes en mer. Cette initiative, baptisée SeaVolt, est le fruit de la collaboration entre Tractebel, DEME et Jan De Nul. L’idée est de rentabiliser l’espace vacant entre les éoliennes offshores sans perturber le trafic maritime.

Les panneaux photovoltaïques sont aménagés sur une structure flottante à même de résister aux conditions météorologiques rigoureuses en pleine mer. Bientôt, une plateforme expérimentale sera remorquée en mer, solidement amarrée et activée afin de rassembler des informations pendant au moins une année, à compter de ce mois d’août.

Par ailleurs, le potentiel de SeaVolt pour exploiter pleinement l’énergie solaire en mer est immense. Sa conception modulaire en fait une option idéale pour compléter les parcs éoliens offshore, selon une déclaration du groupe Jan De Nul.

Crédit photo : Dennis Schroeder/Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification 2.0 Générique (CC BY-NC-ND 2.0)

Actuellement, chaque éolienne doit être implantée à une distance minimale d’un kilomètre de ses voisines pour des raisons techniques. Toutefois, cette marge peut être optimisée, ce que les autorités cherchent à faire. Il est à noter que le projet SeaVolt serait à même de générer une capacité de production électrique comparable à celle d’une centrale nucléaire.

Il convient de souligner que la Belgique a des ambitions importantes dans le domaine de l’énergie en mer du Nord. En effet, elle vise à atteindre une capacité de production électrique de 8 gigawatts d’ici 2050, et ce, en lien avec les initiatives mises en place afin de favoriser la transition énergétique en Europe.

À la fin de l’année 2022, la Chine avait surmonté la barre des 30 millions de kilowatts en termes de capacité d’énergie éolienne en mer, représentant environ la moitié de la puissance mondiale. Pour la deuxième année consécutive, le pays se maintient au sommet du classement mondial, a récemment rapporté le Quotidien du Peuple.

Qin Haiyan, qui est le secrétaire général de l’Association chinoise de l’énergie éolienne, a souligné que l’état chinois possède désormais des compétences autonomes en ce qui concerne la mise en place, la recherche et le développement, l’implantation, la mise en opération et la gestion des éoliennes offshore à haute puissance. Par ailleurs, plus de 70 % des composants essentiels des turbines dans le monde sont produits en Chine.

En septembre 2022, la mise en service de la plateforme éolienne offshore de Baihetan a eu un impact significatif en augmentant la capacité de déploiement et d’aménagement des turbines en mer. La construction de cette structure, pesant 2 000 tonnes, a été gérée en interne par la Chine. Avec les progrès technologiques et le développement à grande échelle, l’efficacité économique de l’énergie éolienne offshore a considérablement augmenté.

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Qin Haiyan a noté qu’entre 2010 et 2021, les frais de l’énergie éolienne en mer en Chine avaient diminué d’environ 56 %. À ce jour, le coût moyen par kilowattheure de l’énergie éolienne offshore s’élève à 0,33 yuan (0,05 dollar). Le pays vise à réaliser l’équilibre tarifaire avec le réseau d’ici la conclusion du 14e plan quinquennal (2021 - 2025).

Pour info, l’énergie éolienne en mer ouvre des perspectives prometteuses. Selon M. Qin, qui a ajouté que les centrales électriques sont concentrées le long des côtes de l’est de la Chine, tandis que les ressources énergétiques sont principalement localisées dans le nord et l’ouest du pays. Avec une puissance actuelle de plus de 30 millions de kilowatts, le potentiel de développement est colossal.

Les navires se classent parmi les moyens de déplacement qui libèrent la plus grande quantité de CO₂ dans l’atmosphère. Conscient de cette réalité, le géant japonais du transport maritime, MOL (Mitsui O.S.K. Lines, Ltd.), s’est associé à l’Université de Kyūshū et au groupe Taiyo Sangyo pour lancer le projet Wind Hunter. L’objectif de cette collaboration est de concevoir des navires autonomes en énergie à même de générer leur propre hydrogène pour pouvoir avancer.

Il est évident que MOL cherche, à travers ce projet, à limiter l’impact carbone des navires dédiés au transport de marchandises par mer. L’entreprise a pour but d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050. En lien avec ce partenariat, Mitsui O.S.K. Lines, Ltd. assumera la gestion du projet, les études de marché et apportera son savoir-faire en ce qui concerne la conception des navires. Quant à l’université de Kyūshū, il travaillera sur la mise en place d’un système de production d’eau pure équipé d’un filtre de haut de gamme. Pour sa part, Taiyo Sangyo se concentrera sur la création d’un système innovant d’osmose inverse.

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L’objectif premier du projet est de mettre sur pied une technologie de dessalement de l’eau de mer, permettant d’obtenir de l’eau douce à grande pureté. Cela est essentiel pour produire de l’hydrogène de façon efficiente par le biais du système d’électrolyse. Le filtre élaboré par les chercheurs de l’université de Kyūshū devra donc être en mesure d’éliminer les matières organiques et inorganiques, ainsi que les boues, et ce, de manière durable. Et pour cause, les dispositifs actuels requièrent un entretien fréquent de leurs systèmes de filtration, engendrant des coûts opérationnels supplémentaires.

Par ailleurs, l’énergie nécessaire pour ce processus sera fournie par les éoliennes installées à bord des navires, leur offrant la possibilité de naviguer en continu, même en cas de vents faibles.